Aurélien Tchouaméni, le milieu de terrain de l’équipe de France et du Real Madrid, vient de faire un grand aveu. Il gardera à jamais un mauvais souvenir !
C’est l’un des hommes forts de Didier Deschamps et il ne cesse de le prouver à travers son rendu sur le terrain. Sa débauche d’énergie, son dépassement de fonction et son apport défensif se veulent très précieux pour les Bleus.
D’ailleurs, lors de l’absence de Kylian Mbappé en sélection, c’est lui qui a été promu capitaine. C’est dire toute son importance.
Cependant, l’ex monégasque a encore en mémoire un triste souvenir.
Si à son jeune âge, il a un palmarès plutôt admirable, Aurélien Tchouaméni a surtout manqué l’opportunité d’être champion du monde. En effet, lors du Mondial 2022, la France a été battue par l’Argentine.
Tchouaméni, un tir au but raté qui fait rage
À l’issue d’un match spectaculaire, 3 buts partout après prolongation, c’est aux tirs au but que les deux formations se sont départagées.
Malheureusement pour Tchouaméni, il s’est manqué lors de l’exercice. Offrant ainsi, le privilège à Lionel Messi et ses coéquipiers d’être sacrés.
La France manquait donc l’occasion de faire un doublé historique après son sacre en 2018. Et pour le milieu de terrain français, c’est un souvenir inoubliable.
« Ça fait partie de mon histoire »
Alors que le 23 mars dernier, Tchouaméni a eu l’opportunité de s’essayer à nouveau à l’exercice, il a été cette fois-ci adroit.
En effet, face à la Croatie, le milieu de terrain merengue a été l’un des tireurs lors de la séance fatidique. Après la rencontre, il s’est exprimé en ces termes.
« Je ne sais pas si c’est de la loterie, mais en tout cas, on a un groupe serein. Quand il y a les penalties, personne ne se cache.
Ceux qui veulent le tirer, ils lèvent le bras et on sait qu’on a un très grand gardien qui nous donne beaucoup plus de chance de gagner, donc on est juste content de pouvoir passer dans ce match.
Évidemment, la dernière fois que j’ai tiré, ça s’était très mal passé, on sait tout ce qui s’est passé, mais je continue à travailler sur ça parce que je savais qu’à un moment donné, j’allais devoir prendre mes responsabilités pour tirer », a-t-il d’abord laissé entendre.
Puis de poursuivre que : « Le penalty en coupe du monde, je ne l’oublierai jamais, même si je marque 15 penalties, c’est quelque chose qui restera ancré en moi, mais voilà, ça fait partie de mon histoire, je continue à être serein et continue à travailler ».