Alors qu’on croyait qu’il préparait sa retraite dans le golfe, Pierre-Emerick Aubameyang a fait son retour à l’OM. Et il s’est empressé de donner les raisons de ce choix retentissant.
Pour Aubameyang, ce retour à l’OM est un choix du cœur. Le Gabonais est tout simplement fan du blason olympien. « Voilà, quand Marseille a appelé, c’était obligé.
Comme je le disais, le choix du cœur”, a-t-il déclaré selon Foot Mercato. Le désormais ex attaquant d’Al-Qadisiah a également été attiré par la qualification de l’Olympique de Marseille pour la Coupe aux grandes oreilles.
« En plus avec la Ligue des champions, ça va être la première fois que je vais l’entendre dans le stade donc ça va être pas mal. Les émotions…”, a-t-il ajouté.
Malgré son départ vers le golfe, la Panthère gabonaise est restée dans les bonnes grâces des dirigeants du club de la cité phocéenne. Et il est prêt à honorer cette confiance.
« J’ai toujours gardé bon contact avec les dirigeants et les joueurs. On discutait avec Medhi Benatia. Cet été, j’ai discuté avec Medhi et Pablo, ils n’avaient pas besoin de me convaincre, j’ai regardé les matchs la saison dernière.
Ça a été rapide. Le coach m’a pas mal chambré, il ne voulait pas que je parte de base. L’idée est d’apporter mon expérience et de jouer mon foot. Je suis flexible, je peux jouer dans l’axe ou sur les côtés.
Il sait que je peux m’adapter”, a-t-il également assuré d’après les propos de RMC Sport rapportés par Onze Mondial. Même s’il est revenu comme une méga star, Aubameyang est prêt à se plier aux exigences de son entraîneur.
À 36 ans, l’ancien attaquant de l’AS Saint-Étienne et d’Arsenal n’est pas ébranlé par la concurrence qu’il subira à l’OM. Il est excité par ce défi.
“Quand on est compétiteur, on vient pour s’imposer. Quand je suis arrivé à Arsenal, tout le monde pensait que j’étais là pour remplacer Lacazette et pourtant, on a formé un super duo.
Je suis là pour aider le groupe à progresser, le plus important sera de tout donner, que ce soit Gouiri ou moi, le plus important, c’est qu’on donne tout ensemble”, a-t-il conclu. À Marseille, on est déjà sur un pied de guerre. Les autres clubs français sont prévenus.