Assimi Goïta, Ibrahim Traoré et le général Tiani reçoivent une excellente nouvelle ; ce pays va …

Niger Mali AES

Crédit photo : Twiter/@Nathalie Yamb

Après avoir chassé la France sur leur territoire, le Président du Mali, Assimi Goïta, du Burkina Faso, Ibrahim Traoré et du Niger, le général Tiani, reçoivent une bonne nouvelle.

L’Iran, un nouveau membre des BRICS, s’apprête à débarquer dans le Sahel notamment dans ces 3 pays pour renforcer le partenariat dans plusieurs domaines stratégiques.

Récemment, l’ambassadeur iranien au Mali, Hossein Taleshi Salehani, et le colonel Malick Diaw, le président du CNT se sont d’ailleurs rencontrés afin d’échanger autour d’un projet éducatif.

 L’objectif de cette réunion  est de confirmer l’ouverture proche de deux facultés de l’Université d’Iran au Mali.

Une décision qui était toutefois attendue. En effet, au mois d’octobre 2023, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bouréma Kansaye était déjà entré en contact avec une délégation iranienne.

Une rencontre qui avait pour but de poser les bases d’une nouvelle collaboration entre les deux pays.

Une collaboration  pourrait prendre, par la suite, d’autres formes. En effet, toujours en 2023, les deux nations se sont engagées à renforcer leurs liens à travers la défense et la sécurité. Une sortie sans précisions, qui laisse présager de nouvelles annonces dans les mois ou les années à venir.

Ibrahim Traoré et ses paires sans pitié avec la France

L’armée française a été chassée par ces trois dirigeants à savoir Assimi Goïta du Mali, Ibrahim Traoré du Burkina et le général Tiani du Niger .

En remplacement de la France, de nouveaux acteurs s’invitent au Sahel : la Russie, notamment par l’entremise du groupe paramilitaire Wagner, mais aussi la Chine ou encore la Turquie. Ce virage diplomatique est profond et semble parti pour durer.

Car le rejet n’est pas que militaire, il est aussi politique et économique. Au cœur des griefs contre la France, on trouve, entre autres, la critique d’un positionnement à géométrie variable vis-à-vis des régimes en place, l’image du franc CFA et à sa symbolique néocolonialiste, une politique d’aide au développement jugée paternaliste…

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