Affaire Apoutchou National : « Mon cœur saigne de te savoir au centre d’un tourbillon si brutal », A’salfo profondément attristé

Apoutchou National A'salfo

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C’est un sentiment de tristesse qui anime le doyen A’salfo à cause de cette tempête que traverse son protégé Apoutchou National. Sur sa page Facebook, il lui a manifesté cela à travers une publication qui se lit comme suit :

« Mon cher Stéphane (Apoutchou),

Ce matin, je me suis réveillé avec une immense tristesse. Mon cœur saigne de te savoir au centre d’un tourbillon si brutal, une situation devenue virale à une vitesse qui dépasse l’entendement.

Cette onde de choc résonne profondément, bouleversant tes proches, tes amis ainsi que tous ceux qui te portent dans le cœur.

Je ne suis pas là pour te juger, mais pour t’apporter mon soutien indéfectible et adresser une pensée pleine de compassion à ta mère, ma sœur qui endosse en silence une douleur que nul ne saurait mesurer.

Je sais que tu es fort, que le courage ne t’a jamais fait défaut et je suis convaincu que tu sauras te relever, renaître de cette épreuve comme un phénix de ses cendres. Cette parenthèse douloureuse, bien que lourde, ne te définira pas.

Je sais que là, où tu es aujourd’hui, tu n’as pas besoin de nos jugements, mais plutôt de notre soutien et de notre compréhension. Et sache qu’on sera avec toi jusqu’au bout« .

Notons qu’avant A’salfo, le Roi 12 12 a également réagi en envoyant un message de soutien à l’endroit d’Apoutchou National. Il s’est exprimé en ces termes :

« J’exprime tout mon soutien à mon fils et artiste Apoutchou National de la Côte d’Ivoire et je demande la clémence des autorités Ivoiriennes. Signé Roi 12 12″, lit-on sur Facebook.

Faut-il le rappeler, l’univers d’Apoutchou National est en train de sombrer. Après avoir exhibé des liasses de billets, la police économique de Côte d’Ivoire l’a convoqué.

Selon les médias ivoiriens, l’influenceur aurait déclaré que l’argent qu’il a exhibé appartenait à son ami Lionel PCS, qui est un pronostiqueur. Pour l’heure, l’on n’en sait pas plus sur l’issue de cette affaire. Mais nous y reviendrons.