“Ancelotti est arrivé et m’a annoncé que…”, Raul Asencio fait une grosse révélation sur sa carrière

“Ancelotti est arrivé et m’a annoncé que…”, Raul Asencio fait une grosse révélation sur sa carrière

Crédit Photo : DR

Après s’être imposé à Carlo Ancelotti au Real Madrid, Raul Asencio, s’apprête à célébrer sa première cape avec la sélection. Mais bien avant, il a évoqué comment il a appris cette première convocation.

« J’ai appris ma sélection avec l’Espagne au milieu de l’entraînement, Ancelotti est arrivé et m’a annoncé que j’étais sélectionné”, a d’abord déclaré Raul Asencio avant de poursuivre.

“Imaginez tous mes coéquipiers… Ils m’ont tous félicité. C’était très gentil de leur part”, a-t-il ajouté. Raul Asencio n’a donc pas laissé planer le doute. C’est le Mister lui-même qui lui a annoncé cette magnifique nouvelle.

Le technicien italien avait pris du temps pour donner une chance à Raul Asencio. Carlo Ancelotti était confronté à une hécatombe de blessures de ses défenseurs en début de saison.

Il a alors préféré faire jouer Aurélien Tchouameni en défense centrale plutôt que de faire confiance au jeune défenseur de 22 ans venu de la Cantera.

Carlo Ancelotti a félicité Raul Asencio

Cependant, les prestations mitigées de Tchouameni en défense ont obligé Carlo Ancelotti à faire appel à Raul Asencio. Le jeune Canterano ne s’est pas fait prier pour saisir sa chance.

Il a livré à plusieurs reprises des copies impeccables. Il s’est finalement imposé dans cette défense du Real Madrid comme une valeur sûre.

Fort de ses performances remarquables, Raul Asencio a été convoqué pour la première fois en équipe nationale d’Espagne pour la double confrontation avec les Pays-Bas en quarts de finale de la Ligue des Nations.

Avant de célébrer cette première, sous le maillot de la Roja, Raul Asencio a dévoilé son idole. Sergio Ramos a toujours été mon idole.

Tout le monde sait qu’il était une référence pour le Real Madrid et l’Espagne. Puyol aussi. Enfant, on admire ces joueurs et on essaie d’apprendre d’eux”, a-t-il avoué. On connaît désormais de qui Raul Asencio tient sa grinta (hargne, ndlr). Le ton est donc donné.