Lancé dans un bras de fer avec Newcastle, Alexander Isak qui réclame à son club, son transfert avorté vers Liverpool, s’est engagé à ne plus disputer la moindre minute avec les Magpies, alors que son contrat avec l’équipe court jusqu’en 2028.
Une décision forte prise par l’international suédois, qui vient d’en livrer les raisons à travers une longue publication sur ses comptes sociaux.
En effet, à travers un post sur Instagram, Alexander Isak a dénoncé une promesse non tenue par la direction de Newcastle, qui aurait conduit selon lui, à la fin de leur relation.
« Je suis fier d’avoir été reconnu par mes collègues professionnels en intégrant l’équipe de la saison 2024/25 de la PFA Premier League. Tout d’abord, je tiens à remercier mes coéquipiers et tous les membres du Newcastle United qui m’ont soutenu tout au long de cette aventure. Je ne suis pas présent à la cérémonie ce soir. Compte tenu de tout ce qui se passe, je ne me sentais pas à l’aise d’être là. Je suis resté silencieux pendant longtemps alors que d’autres se sont exprimés.
Ce silence a permis à certaines personnes de diffuser leur propre version des faits, même si elles savent que celle-ci ne reflète pas ce qui a été réellement dit et convenu à huis clos. La réalité est que des promesses ont été faites et que le club connaît ma position depuis longtemps. Agir aujourd’hui comme si ces problèmes venaient seulement d’apparaître est trompeur.
Lorsque les promesses ne sont pas tenues et que la confiance est perdue, la relation ne peut pas continuer. C’est là où j’en suis actuellement, et c’est pourquoi le changement est dans l’intérêt de tous, pas seulement dans le mien », a-t-il posté.
Classé deuxième meilleur buteur de la Premier League, durant la saison 2024-2025, Alexander Isak a connu une saison riche avec Newcastle, suscitant l’attention de gros clubs européens, dont Liverpool.
Les Reds ont vivement montré leur ambition de recruter le Suédois, formulant une offre de plus de 130 millions d’euros.
Une offre finalement rejetée par la direction des Magpies, fermée à l’idée de se séparer de sa principale arme offensive.
De quoi briser les rapports entre les deux parties, qui ne semblent pas du tout vouloir se faire cadeau.