Après Ze Gladiateur, un autre acteur p0rn0 africain ayant quitté l’industrie a fait de terribles révélations. Il s’agit d’Alain Motmbit, ancien acteur p0rn0 camerounais.
Après avoir quitté l’industrie, ce dernier a levé le voile sur les conditions désastreuses dans lesquelles la production réalise les films. Il a déploré le mauvais casting des femmes (la sélection des actrices malpropres), et le mauvais traitement des acteurs.
« Mon moment le plus difficile dans mes tournages de films adultes, c’était le moment où je devais chatter (lécher) une femme. Car quand elles ouvrent les cuisses, l’odeur peut seulement te faire vomir et fuir. Les boutons et la saleté de partout.
Tu te demandes alors où on les prend et comment elles font au quotidien avec leurs gars. Et surtout, comment on les fait faire des films pareils avec plusieurs partenaires sans traitement ?
En plus, on nous traitait comme des animaux. Jusqu’à un moment, ils ont dit que je ne b@ndais plus, car ce n’était pas évident de le faire devant beaucoup de personnes qui vous regardent.
Une fois, j’ai c0uché avec une fille qui saignait. J’ai fait la chatte à la fille sans le savoir même pendant une heure. Parce qu’elle a bloqué ses saignements avec les cotons. Et malgré ces risques, les producteurs ne nous gèrent pas« , a-t-il confié.
Faut-il le rappeler, Alain n’est pas le seul acteur p0rn0 africain à se plaindre du mauvais traitement qu’il a subi dans sa carrière. Après Ze Gladiator qui a fait des révélations troublantes sur Dorcel Africa, l’actrice Latifah avait également brisé le silence.
Quant à elle, sans donner des détails sur les conditions du tournage, elle a juste juré qu’elle ne retournera pas dans ce monde. Et ce, pour tout l’or du monde.
« Je ne fais plus partie de ce monde. Même si on me donne le milliard, je ne pourrai plus jamais rejouer ces films-là« , avait-elle lâché, surprenant plus d’un.
Avec les différentes sorties de ces anciens acteurs, un communiqué de la maison de production indexée est donc très attendu. Nous vous tiendrons informés.
