En Côte d’Ivoire, la lutte contre la corruption menée par les autorités porte ses fruits.
En plus des actes de répression et de sanctions posés, le gouvernement d’Alassane Ouattara, a pris un certain nombre de décisions.
Il s’agit entre autres : de l’application de la loi relative à la déclaration du patrimoine des personnes assujetties, des poursuites judiciaires et des sanctions administratives prises à l’encontre des agents et hauts cadres de l’administration publique ayant été reconnus coupables d’actes de corruption.
Visiblement toutes ces mesures répressives sont reconnues par la communauté internationale.
D’après le classement 2023 pour l’indice de perception de la corruption (IPC), la Côte d’Ivoire a gagné, en un an, 12 places et 3 points.
En effet, selon l’IPC 2023, « la Côte d’Ivoire a gagné, en un an, 3 points et 12 places. Soit un score de 40/100 avec un rang de 87ème sur 180 pays en 2023, contre un score de 37/100 avec un rang de 99ème sur 180 pays en 2022 ».
Au détour d’un communiqué de presse en date du 31 janvier 2024, le gouvernement ivoirien a fait savoir que cette performance est le résultat des réformes juridiques et institutionnelles mises en œuvre depuis plus d’une décennie et des actions entreprises en matière de dénonciation et de répression des actes de corruption.
Il est évident que la lutte contre la corruption n’aura pas droit de cité en Côte d’Ivoire.
Alassane Ouattara l’a réaffirmé à de nombreuses reprises. Il n’aura pas de pitié pour les fossoyeurs de l’économie nationale.
Il ne reste plus qu’à souhaiter que les autorités continuent sur cette lancée.
C’est le moment plus que jamais de redoubler de vigilance dans la lutte contre ce fléau.
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