Les tiktokeuses de ce pays africain ont du souci à se faire.
En effet, les contenus à caractère s3xuel diffusés sur TikTok, le réseau social de publication de courtes vidéos, a été l’objet d’une discussion à l’Assemblée nationale burkinabè le lundi 4 décembre 2023.
La question a été soulevée par la députée Sabine Compaoré, qui pense qu’il faut trouver une solution aux contenus potentiellement nocifs publiés sur le réseau social TikTok.
À l’en croire, la ministre de la Transition digitale, Aminata Zerbo, doit protéger les jeunes de la dépravation des mœurs alimentée par les réseaux de divertissement.
Une sollicitation à laquelle la ministre s’est dite ouverte. D’après elle, le Burkina Faso dispose d’une base juridique pour la répression de certains actes répréhensibles susceptibles.
« Des structures spécifiques ont été mises en place dans le but de garantir l’effectivité du corps juridique, dont, entre autres, la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité, la commission de l’informatique et des libertés (CIL) », a-t-elle déclaré.
De façon plus précise, les tiktokeuses risqueront désormais de 2 ans de prison et de 3 millions d’amende, si le contenu qu’elles publient porte atteinte aux mœurs.
L’annonce a été abondamment saluée par les internautes sur le réseau social TikTok qui trouvent en cette disposition une manière d’assainir le milieu des influenceurs de TikTok.
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